Avec Marius de Pagnol (1931), Fanny, du même (1932), "À petit pas" de Scotto (1932), "Adieu Venise provençale", du même (1934), etc., etc., Marseille, l'assent, le soleil du midi firent leur entrée à Paris.
Alibert dont le nombre d'enregistrement est étonnant décida d'en profiter pour écrire un livret d'opérette.
Cela allait donner Un de la Canebière et de cette Canebière est issu un certain tango devenu un incontournable des vingtième, vingt-cinquième et cinquantième anniversaires de mariage :
"Le plus beau de tous les tangos du monde, c'est celui que j'ai dansé dans vos bras..."