Le Fiacre
1888
hanson écrite par Xanrof (voir à "
Elle était très bien"), un des auteurs-compositeurs favoris d'
Yvette Guilbert pour qui il écrivit par
la suite "L'hôtel du n°3" (voir à Yvette Guilbert Paris Qui Chante) et les "Quatr'z' étudiants" (Voir à Xanrof).
Yvette Guilbert en a fait plusieurs enregistrements dont le plus connu, sans doute, est celui de 1934.
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Paroles
Un fiacre allait trottinant,
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Un fiacre allait trottinant,
Jaune, avec un cocher blanc.
Derrier' les stores baissés
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Derrièr' les stores baissés
On entendait des baisers
Puis un' voix disant ! "Léon ! "
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Puis une voix disant : "Léon !
Pour... causer, ôt' ton lorgnon ! "
Un vieux monsieur qui passait
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Un vieux monsieur qui passait
S' écri' : "Mais on dirait qu' c'est
Ma femme avec un quidam !
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Ma femme avec un quidam ! "
I' s' lanc' sur le macadam,
Mais i' gliss' su' l' sol mouillé,
Cahin-caha, Hu, dia ! Hop là !
Mais i' gliss' su' l' sol mouillé,
Crac, il est escrabouillé,
Du fiacre un' dam' sort et dit :
Cahin-caha, Hu dia ! Hop là !
Du fiacre un' dam' sort et dit :
"Chouett' Léon, c'est mon mari !" |