Georgius


VU PAR LA PRESSE


"Depuis Paulus, nul artiste n'a eu autant d'influence sur le public"
Gérard d'Houville


"C'est l'absence de mesure, cette marge infinie entre l'excessif et l'inadmissible qui lui confère tout son pouvoir hilarant"
Patrick Walberg

"Georgius, Jarry de la chanson, unique et inimitable, pitre et poète à la fois"
Pierre Barlatier


"Un zig-zag perpétuel, un pantin dont toutes les articulations sont à ressort, en cataracte, un homme-orchestre chantant et dansant, un feu d'artifice de mouvements et de paroles, une douche de gaieté sur lui-même et sur nous [...] tel est Georgius dont on ne saurait trop louer, selon mon avis, le trépidant talent et l'endurance extraordinaire, quasi sportive [...] Pas une minute, on n'a l'impression qu'il soit brisé ou essouflé"
Legrand-Chabrier


"Georgius est le Sacha Guitry du café-concert"
Blanchalix


"Georgius joue au music-hall le même rôle que Jouvet, Dullin, Baty et Pitoëff dans leur théâtre"
Legrand-Chabrier


"Georgius ne cessera pas de nous plaire, volubile, naturel, le visage parlant, allègre, doué de surcroît de l'impeccable articulation qui s'acquiert qu'au caf' conc..."
Colette


"Il pète le feu, il ne brûle pas les planches il les enflamme"
Lucien Descaves


"Pas une minute où l'on ne soit soi-même brisé ou étouffé"
Pierre Lazareff


"Georgius,  c'est la synthèse même de la gaieté populaire, avec son esprit, sa gouaille, son bon sens et disons le mot, avec sa poésie"
Eugène Dabit (le romancier d'Hôtel du Nord)


"Les nouvelles scies qu'il adjoint à son ancien répertoire sont d'une folie et d'une drôlerie que jamais n'ont atteint les pâles surréalistes"
André Thérivé


"L'art de Georgius s'apparente aux graffitis. Il trace d'un trait rapide et négligeant une physionomie mais ne s'y attarde pas. Il lui faut tout autour le vacarme de la rue et le mouvement de la vie et les mouvements de la foule"
Robert Desnos


"Ce "militant de la chanson" comme il se proclame, est un bourgeois. Mais le styliste est un anarchiste, qui dynamite allègrement la logique et la bienséance, proférant les pires énormités avec un flegme de gentleman"
Jacques Primack


"Une salle si pleine qu'on est obligé de s'asseoir sur les marches d'un escalier pour écouter le programme. Un public enthousiaste qui crie : "Encore ! Une autre !" avec une impitoyable ardeur, et sur la scène, Georgius, cet homme qu'on peut qualifier d'athlète car il accomplit un véritable exploit sportif en chantant, en dansant, en se désarticulant pendant trois quarts d'heure. - Georgius a d'autres mérites. Il croit à son art. Et il agit, il cherche, il renouvelle chaque année la présentation de son tour de chant. Il apporte une réalisation aussi moderne que possible de la chanson. Il fait chanter des chœurs, il a des décors à la russe, il met un jazz sur la scène - Tout cela est ingénieux et vivant. - Une salle populaire ne résiste pas à l'entrain de Georgius dès qu'il apparaît. C'est compréhensible. C'est une sorte de pantin électrique remonté à fond. Et la musique de ses refrains est toujours très soigneusement rythmée."
René Bizet (L'Intransigeant)


"Mais voici Georgius, avec son habit de velours, son gilet et ses chaussettes en soie bleue, sa fleur échevelée à la boutonnière. Quelles ovations, quels trépignements, quels rappels. Mails il faut répéter aussi que Georgius est un artiste étonnant, d'une fantaisie fine, d'un talent très étudié ; tout est réglé et mis en place avec une merveilleuse précision, et sauf Mayol, je ne vois personne qui sache aussi bien plaquer le geste significatif sur le rythme et sur le mot et jouer une chanson comme une comédie. - Il est vrai que Georgius joue aussi la comédie et fort bien. C'est un remarquable acteur de composition."
Gustave Fréjaville (Comœdia)


"Or, sur la scène apparut un acteur élégant, au regard vif. C'est M. Georgius. Son seul aspect nous invitera à sourire de la fausse élégance, de la sentimentalité factice, des niaises traditions... Et il n'y manque pas. Il est remarquable par l'agilité, la souplesse. Il est toujours en mouvement et ne cesse de parler. Il affole le public et l'entraîne. Son œil se moque des paroles qu'il prononce. Son regard sourit du texte. C'est un interprète très fin qui m'a beaucoup amusé."
Nozière (L'Avenir)


"Georgius a beaucoup de talent et d'animation.
Gérard D'Houville (Le Gaulois)


"Georgius est, avec l'incomparable Mayol, un des rares artistes de Concert capable de chanter vingt chansons sans lasser un instant le public."
P. Varenne (Bonsoir)


"Georgius est le Sacha Guitry du Concert."
Blanchalix (L'Ère Nouvelle)


Georgius est un prince de l'hunour. Il a des trouvailles qui l'apparentent à Mark Twain, à Cami, à Gabriel de Lautrec."
Monsieur Cyrano (La démocratie nouvelle)


"Georgius est un parodiste. Il excelle à présenter des pastiches de différents genres de chansons dont il souligne d'une manière piquante, et non sans esprit les exagérations."
P. Louis (La Liberté du Sud-Ouest)


"Il fait rire, non par les procédés habituels et grossiers, mais par une bouffonnerie jaillissante, encore que surveillée, qui lui est personnelle."
H.H.B (La petite Gironde)


"Le chanteur Georgius est le plus jeune des artistes populaires de Concerts. Il a pourtant déjà lancé un demi-millier de chansons. C'est un artiste que l'on revoit vingt fois de suite sans se lasser."
Le Soiriste (Le Phare de la Loire)


"Avez-vous remarqué que presque toutes ses pièces cachent, sous un aspect comique, une idée parfois très philosophique."
Willy (Journal d'Alsace-Lorraine)


"À l'affiche : Georgius, roi de la chanson. Comment voudriez-vous que la salle, pleine à craquer, eut résisté à son entrain, à l'esprit qui pétille dans chacun de ses couplets, et jusqu'au bout de ses escarpins vernis, lorsque trépidant, inlassable, payant comptant avec le sourire, il danse et mime l'actualité qu'il a saisie au vol et qu'il vous apporte toute fraîche, souriante, grivoise et frondeuse, telle qu'elle plaît à Montmartre ou sur le Boulevard ... Ce fut mieux qu'un succès. Un triomphe ! Des rappels à n'en plus finir et des applaudissements aussi chaleureux aux fauteuils qu'au promenoir. - Ce fut mieux qu'un succès et ce fut mérité pour l'artiste dont la conscience professionnelle (chose rare maintenant) est à la hauteur du talent. Saluons en passant."
Albert H. (La Suisse)


"Et l'on revient toujours à ses premières amours. C'est ainsi que l'on a revu le grand chanteur Georgius, qui connut le succès à l' Alhambra. Cet artiste a décidément l'oreille du public et son succès a été étourdissant. Pour un peu le public fut resté toute la nuit à l'entendre."
La Tribune de Genève

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