Annuaire des Artistes - Edition 1893


PAGES 94 & 95

PAGES 110 & 111




Théâtre Français

COMÉDIE FRANÇAISE

Historique.

En 1680, Louis XIV ordonna que les troupes qui jouaient à l'hôtel de Bourgogne et au théâtre de Guénégaud seraient réunies en une seule et fixa le nombre des artistes à 27. Deux ans plus tard, le théâtre reçut 12.000 livres de subventions. En 1689 il fut transporté au jeu de paume de l'Étoile, rue des Fossés-Saint-Germain ; ce fut la que le nom de Comédie Française fut donné au théâtre, par opposition à la Comédie Italienne. Une nouvelle charge imposéee en 1699 obligea de prélever sur les recettes un impôt pour les hospices (c'est de cette époque que date le droit des pauvres). Après la mort de Louis XIV, la Comédie Française continua à être soumise à l'autorité du monarque ; le nouveau roi d'ailleurs continua la pension de 12.000 livres. Ce fut à cette époque que le duc de Richelieu exerça principalement son autocratie.
En 1770 le théâtre quitta son domicile et vint s'installer aux Tuileries ; en 1782 la Comédie s'établit à l'hôtel de Condé, salle qui, reconstruite depuis, est devenue l'Odéon ; en 1784 eut lieu la première du Mariage de Figaro : débuts de Talma en 1787.
Pendant la Révolution, 1789, la Comédie prend le titre de Théâtre de la Nation, Comédiens ordinaires du Roi ; c'est alors que Chénier donna Charles IX, pièce qui produisit de vifs incidents et amena un duel entre Talma et Naudet. Pendant la nuit du 3 au 4 septembre 1793 les comédiens furent arrêtés et menacés d'être guillotinés ; le théâtre de la rue Richelieu qui, à la suite du 10 août avait pris le nom de théâtre de la Liberté, puis celui de la République, demeure seul maître du terrain. Les Comédiens relâchés s'y engagèrent ; Mademoiselle Raucourt réorganisa la Comédie Fraçaise à la Salle Louvois (1796). Un an après le Directoire on ordonna la fermeture : la troupe rentra à l'Odéon.
En 1798 le théâtre de la République se reconstitue une troisième fois à l'Odéon, François de Neufchâteau nomme le premier commissaire du gouvernement près du théâtre.
En 1799, un incendie détruit la salle ; en 1802 un arrêté des consuls alloue au théâtre 100.000 fr. et ordonne sa réorganisation, rue Richelieu. La Comédie Française suivit l'Empereur à Saint-Cloud, à Fontainebleau, à Trianon, à la Malmaison, à Dresde ; le 15 octobre 1812, le décret de Moscou réorganise la Comédie sur les bases actuelles. Après Louis XVIII et les Cent jours, la Comédie passe sous la direction de l'Intendance des théâtres royaux. Quelques années après la Comédie Française devint le théâtre de la nouvelle école romantique et donna Hernani 1830 ; puis le Roi s'amuse, suspendu par ordre de M. Thiers, Antony qui devait être joué par Mme Dorval, également suspendu. En 1831, nomination du premier directeur, M. Jouslin de la Salle qui devait être en 1837 remplacé par M. Vedel. En 1838, M. Buloz, directeur de la Revue des Deux-Mondes, succède à M. Vedel. En 1848, le théâtre reprend le nom de théâtre de la République, la subvention est élevée de 200 à 300.000 francs. En 1850, un décret détermine la marche à suivre par les acteurs dans chaque emploi, sans considération d'ancienneté. En 1852, M. Arsène Houssaye est nommé administrateur, puis remplacé en 1856 par m. Empis ; la subvention est fixée définitivement à 240.000 fr. ; en 1859 nomination de M. Thierry, qui est remplacé (1871) par M. Perrin, décéde en 1885, et auquel succéda M. Jules Claretie, administrateur actuel.


NdW : suivent :

  • un chapitre Organisation administrative. (pages 95, 96, 97 et 98)
  • un chapitre Décret, dit de Moscou. (pages 98, 99, 100 et 101)
  • un croquis du décor de Par le Glaive de Jean Richepin (page 102 - ci-dessous) :

  • un chapitre Décret sur le Théâtre-Français. (pages 101, 103, 105)
  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 105 et 107)
  • un portrait de Paul Mounet - Dessin de Albert Lambert fils (page 104)
  • un dessin d'Albert Lambert fils par lui-même (page 106)
  • un croquis d'une scène de Le Sicilien ou l'Amour peintre (page 108 - ci-dessous) :

  • deux encarts publicitaires (page 109)



Théâtre de l'Opéra-Comique

OPÉRA-COMIQUE

Historique.

Le théâtre de l'Opéra-Comique a des origines très anciennes. Le premier privilège en fut accordé en 1617 à Honoré, maître-chandelier de Paris, qui, pendant plusieurs années, avait été chargé de l'éclairage des théâtres. En 1745, il est supprimé. On le rétablit en 1753. En 1762, il fusionne avec la Comédie Italienne. Il est encore, en 1780, à l'ancien hôtel de Bourgogne, dans la rue Mauconseil.
En 1783, la salle Favart est bâtie pour recevoir les deux troupes fusionnées. Le théâtre porte à ce moment le nom de Comédie-Italienne, ce qui n'empêche qu'en 1779, un arrêt du conseil interdit à l'union des deux troupes de jouer à l'avenir des pièces italiennes, et que, tout en gardant son nom jusqu'à la Révolution, il se consacre exclusivement au répertoire français, aux chefs d'œuvre nationaux de Gietry, de Dalayrac et de Monsigny.
Trente-quatre acteurs, actrices et choristes, trente-neuf danseuses et vingt-et-un musiciens de l'orchestre, tel était alors le faible effectif avec lequel l'Opéra-Comique jouait ses œuvres peu bruyantes et pleines de charme.
En 1791, le théâtre prend le nom de théâtre Feydeau. Puis l'Opéra-Comique quitte la salle Favart ; il émigre successivement dans plusieurs salles et enfin à moitié ruiné, il fusionne avec une entreprise rivale, ruinée comme lui. Il ne rentre qu'en 1840 dans la salle de la place Boieldieu, occupée dans l'intervalle, par une troupe italienne, qui en avait eu la possession jusqu'à l'incendie de 1838.
Le premier Empire donna à l'Opéra-Comique une subvention de 96.000 francs, que la Restauration éleva à 150.000 francs. Le gouvernement de Juillet flotta à son égard entre l'économie et la largesse. Il commença par réduire la subvention à 120.000 francs, en 1831, pour aboutir en 1837 à une subvention de 240.000 francs, que la République de 1848 et le second Empire conservèrent.
La subvention tomba en 1871 à 140.000 francs. Nous la verrons tout à l'heure se relever à un chiffre plus en rapport avec l'intérêt qui s'attache à la prospérité d'une scène tout à fait nationale, où ont brillé Gretry, Herold, Auber et Boieldieu, et où les jeunes compositeurs trouvent au début de leur carrière musicale un terrain plus facile que celui du grand Opéra.
La salle, détruite le 25 mai 1887 par un incendie, fut construite sur les plans de M. Carpentier, elle contenait 2.000 places. Elle était une des plus jolies et des mieux distribuées d'après l'ancien système de construction : beaucoup de loges au premier étaient reliées à de petis et très élégants salons.
L'Opéra-Comique est aujourd'hui installé place du Châtelet, en attendant que la Chambre ait pris une décision qui se fait attendre.
L'organisation de l'Opéra-Comique est aujourd'hui ce qu'elle a toujours été : c'est une entreprise privée, assujettie à un cahier des charges en échange de la subvention qu'elle reçoit de l'État, et soumise, par suite, au contrôle d'un commissaire du gouvernement dans des conditions très analogues à celles du théâtre de l'Opéra.


NdW : suivent :

  • un chapitre Organisation administrative. (pages 111, 112 et 113)
  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 113 et 115)
  • une photographie de Mlle de Béridez, de l'Opéra-Comique (page 114 - ci-dessous)

PAGES 116 & 117

PAGES 124 & 125




Théâtre de l'Odéon

ODÉON

Historique.

Connu également sous le nom de second Théâtre-Fraçais, construit et terminé en 1782, sur les plans de Wailly et Peyre. La salle actuelle est sinon une des plus vastes de Paris, du moins une des plus majestueuses et l'acoustique en est renommée. Ce théâtre, qui était destiné à la Comédie-Française, à coûté plus de deux millions à Monsieur, frère du Roi ; ce fut dans cette salle que les artistes de la Comédie-Française représentèrent le Mariage de Figaro, le Charles IX, de Chénier, le Paysan, de Collot d'Herbois, les Victimes cloîtrées, de Monvel, l'Ami des Lois de Laya, etc. Les principaux acteurs de ce théâtre, qui prit le nom de Théâtre de la Nation (1789), étaient : Mole, Preville, Dugazon, Brisard, Fleury, Dazincourt, Talma, Vigée, Collin d'Harleville, Vonhove, etc. Une scission s'étant produite, une partie dirigée par Talma, Monvel, etc. émigra salle Louvois ; les autres, Mole en tête, demeurèrent au théâtre français de l'Odéon, où ils soutinrent honorablement le nom de la Comédie-Française.
La salle de l'Odéon resta quelque temps inoccupée et livrée aux usages les plus divers. Le 16 août 1794, la Montansier y installa une troupe nouvelle, mais les théâtre de l'Égalité, comme on l'appelait, n'eut point de succès et dut fermer en 1796 ; c'est à cette époque que ce théâtre prit le nom d'Odéon.
Le Conseil des Cinq-Cents siégea à l'Odéon où s'accomplit le coup d'État du 18 fructidor, an V, (NdW : 4 septembre 1797) à la suite duquel Carnot et 53 députés furent déportés.
Diverses troupes s'installèrent ensuite à l'Odéon mais sans succès. En mars 1798, les comédiens de la place Louvois vinrent donner quelques représentations. Le 18 mars1799, un incendie dévora le théâtre qui resta en ruines jusqu'en 1807. A cette époque, il fut reconstruit, reçut le nom de théâtre de l'Impératrice et rouvrit ses portes sous la direction d'Alex Duval (15 juin 1808). La troupe qui comptait parmi ses meilleurs acteurs, Armand Granville, Firmin ; Mmes Malé-Léger, Pélissier, Molière, Delille, donna des représentations quatre fois par semaine ; les artistes Italiens y jouaient les trois autres jours.
A la Restauration, le théâtre de l'Impératrice devint second Théâtre-Français et eut tous les privilèges du premier (2 décembre 1815). Picard qui en prit la direction, s'attacha à y attirer le public qui depuis quelque temps l'abandonnait. Il y donna des comédies et ds ballets, et reçut une subvention de 27.000 francs. Un nouvel incendie dévora la salle le 20 mars 1816. Le théâtre, tel qu'il existe actuellement, fut reconstruit le 30 septembre 1819. Picard y installa sa troupe à laquelle se joignirent Joanny, David, Samson, Provost ; Mmes Brocard, Fleury, Deha, Astruc. Par suite de passions politiques, ce théâtre vit ses représentations troublées par les libéraux, les royalistes d'un côté et les bonapartistes de l'autre.
Picard ayant abandonné la direction, fut successivement remplacé par Spontin-Montau, Berton, Grimel, Gentil-Bernard ; la subvention étant de 80.000 francs. La tragédie et la comédie comptaient parmi leurs interprètes : Beauvallet, Frédérick-Lemaître, Ligier, Bocage ; Mlles Georges, Brohan, etc. Malgré ces éléments de succès, l'Odéon devint le Théâtre Lyrique (1825). On y représenta le Barbier de Séville, Marguerite d'Anjou, Robin des Bois, etc. L'Odéon revint ensuite à la tragédie et à la comédie avec la direction Dupetit, Mere et Sauvage ; Harel obtint (1828) sa réouverture avec unse subvention de 180.000 fr. et ferma en 1830. L'Odéon devint une salle de passage où tous les genres vinrent s'exposer successivement. Réouvert par M. d'Epagny (1841), auquel succéda Auguste Lirieux, celui-ci composa sa troupe avec Monrose, Maubant, Baron, Rouvière, Ballande, Gil-Perès, Pierron, etc. Bocage lui succéda et obtint une subvention de 100.000 francs ; il fut remplacé en 1848 par A. Vizentini ; plus tard, les acteurs exploitèrent le théâtre en société ; de 1849 à 1853, sous l'habile direction de M. Altaroche, il devint prospère ; M. Alphonse Royer lui succéda. Après lui, ce fut M. de La Rounat qui le dirigea de 1856 à 1867. Il rendit le théâtre prospère et fit une grande place aux jeunes auteurs. De Chilly l'administra jusqu'en 1872 ; M. Duquesnel lui succéda, il fut remplacé par M. Porel ancien artiste de ce théâtre. Les directeurs actuels sont MM. Marck et Desbeaux.


NdW : suivent :

  • un chapitre Organisation administrative. (pages 117, 118, 119 et 120)
  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 120 et 121)
  • un encart publicitaire (page 122)
  • un encart publicitaire (page 123)



Théâtre du Vaudeville

VAUDEVILLE

Administration (1892-1893)

Directeur, M. Albert Carré, , I., .
Secrétaire général, M. Léon Carré. -- Directeur de la scène, M. Boisselot. A. .
Administrateur, M. Ricquier, I., . -- 1er régisseur, M. Darmand.
2ème régisseur, M. Pellerin. -- Chef machiniste, M. Brabant.
Chef des accessoires, M. Pêcheur. -- Souffleur, M. Gailhard.

Artistes.

MM. Dieudonné, A. , Boisselot, A. , Hittemans, André Michel, Candé, Laroche, Galipaux, Lagrange, Mayer, Peutat, Mangin, Berny, Valbel, Duluard, Chautard, Acard, Béjuy, Moisson.
Mmes Maria Legault, Daynes-Grassot, Cécile Caron, Marguerite Caron, M. Samary, devoyod, Yahne, Goby, Verneuil, De Géraudon, Nory, Marcel.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 125 et 127)
  • une gravure du décor de Monsieur Coulisset (page 126 - ci-dessous) :


  • un chapitre Prix des places au Gymnase et aux Variétés. (page 128)
  • un encart publicitaire (page 129)

PAGES 130 & 131

PAGES 137 & 138




Théâtre du Gymnase

GYMNASE

Administration (1892-1893)

Directeur, M. V. Koning.
Secrétaire général, M. E. Abraham. -- Administrateur de la scène, M. Villeray. -- Contrôleur général, Caissier, M. Loriney. -- Régisseur général, M. Libert. -- Régisseur, M. Ricquier. -- Chef machiniste, M. Bauduit -- Chef d'accessoires, M. Achille. -- Souffleur, M. Séglas.

Artistes.

MM. Raphaël Duflos, Noblet, Cocheris, Montigny, Nertann, Colombey, Numès, Burguet, Émile Albert, Hirch, Richemont, Ch. Esquier, Bérac, Libert, Marcel, Simon, Seiglet, Renoux, Boudier, Torin, Ricquier, P. Brébant.
Mmes Raphaële Sisos, Berthe Cerny, Desclauzas, Depoix, Darlaud, Demarsy, Lucy Gérard, Augé, Vernières, Préjal, Bertine, Thibert, A. Comte, Werner, Debien, Seinty, M. Briot, Gennetier, Maurice, Damaury, J. Alker.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 131, 132 et 134)
  • une gravure de La Menteuse (page 133)
  • deux gravures de Celle qu'on respecte (page 135)
  • un chapitre Prix des places au Grand-Théâtre. (page 136)



Ballet-Pantomime à l'Eden-Théâtre

GRAND-THÉÂTRE (Ancien Eden)

Administration (1892-1893)

Directeur, M. Paul Porel, .
Secrétaire général, M. Stany Orbier. -- Administrateur, M. Libersac. -- Inspecteur général, M. Bernou. -- Contrôleur en chef, M. Bernier. -- Régisseur général, M. Baudu. -- Chef machiniste, M. Courbois. -- Caissier, M. Turet. -- Régisseur de la scène, M. Faguet. -- Chef des comparses, M. Royer. -- Chef d'orchestre, M. Gabriel Marie. -- Sous-chef d'orchestre, M. Railli. -- Chef des chœurs, M. Camille. -- Répétiteur, M. Bachelet.

Artistes.

MM. Guitry, Marquet, Calmettes, Montbars, P. Rency, Lugné-Poé, Montcavrel, Schutz, Gauthier, Gildès, Numa, Courcelles, Matrat, Maury, Flers, Lacroix, Grandey, Parisot.
Mmes Réjane, Marie laurent, Tessandier, Leriche, Parys, Claudia, A. Martial, Thomsen, Kesly, Montcharmont, Roland, B. Dufresne, A. Dufrene, Geurtet, Duluc, Carlix, Suger, Vernon, Mellot, Meuris, S. Munte.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 138 et 140)
  • une gravure de Sapho (page 139)
  • deux encarts publicitaires (page 141)

PAGES 142 & 143

PAGES 148 & 149




Théâtre des Variétés

VARIÉTÉS

Administration (1892-1893)

Directeur : M. F. Samuel.
Administrateur, Secrétaire général, M. Jules Brasseur. -- Caissier, M. Boutet de Monvel.
Régisseur général, M. Louar. -- Contrôleur en chef, M. Ador. -- Chef d'orchestre, M. A. Fock.
Sous-chef, M. Daynes-Grassot. -- 2ème régisseur, M. Ploton. -- 1er avertisseur, M. Bienvenu. Chef machiniste, M. Edouard. -- Répétiteur, M. Schubert. -- Chef des chœurs, M. Grandjean.
Souffleur, M. Pétrus. -- Chef des accessoires, M. Alexandre.

Artistes.

MM. Dupuis, Baron, Alb, Brasseur, Gobin, Lassouche, Cooper, E. Petit, Brunais, Leiter jeune, Monval, Duplay, Arnould, Thierry, Marcelin, etc.
Mmes Réjane, Mathilde, Lender, Antonine, Méaly, Germaine Gallois, Auguez, Lavallière, G. Fleury, Mériany, Joissant, F. Martha, Dieterle, Jeandick, Gutty, Crozet, Manvel, Olga, Maria, Nadia, etc.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 143 et 145)
  • une gravure du Brevet supérieur (page 144)
  • trois portraits de Mlle Lavallière, José Dupuis et Mlle Lender (page 146)
  • unencart publicitaire (page 147)



Théâtre du Palais-Royal

PALAIS-ROYAL

Administration (1892-1893)

Directeurs, MM. Paul Mussay et Léopold Boyer
Régisseur général et secrétaire général, M. René Luguet. -- Caissier, M. Brecourt. -- Contrôleur en chef, M. Pourpre. -- Régisseur, M. Ingremi. -- 1er Chef d'orchestre, M. Domergue. -- 2ème chef d'orchestre, M. Bailly. -- Chef machiniste, M. Rousseau. -- Chef des accessoires, M. Philippe. -- Costumier, M. Lambert. -- Souffleur, M. Garain.

Artistes.

MM. Saint-Germain, Luguet, Calvin, Milher, Raimond, Dubosc, H. Deschamps, Didier, Hurteaux, Maudru, Garon, Garaudet, Bellot, Liesse, Garnier.
Mmes Marie Magnier, Lavigne, Cheirel, Bonnet, Franck-Mel, Clem, Lhéritier, Burty, Miramon, Renot, Bilhaut, Renaud, Marley, Farniéri.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 149 et 150)
  • un encart publicitaire (page 151)

PAGES 152 & 153

PAGES 156 & 157




Théâtre de la Porte Saint-Martin

PORTE-SAINT MARTIN

Administration (1892-1893)

Directeur, M. Émile Rochard, .
Secrétaire général, M. Georges Blavet, A. . -- Administrateur, M. Dermez.
Contrôleur en chef, M. Rion. -- Régisseur général, M. Péricaud. -- 1er régisseur, M. Samson.
2ème régisseur, M. Duhamel. -- Chef d'orchestre, M. Henri Sené.
Chef machiniste, M. Eugène Colombier. -- Chef des comparses, M. Royer.
Accessoires, M. Lorette.

Artistes.

En représentations : MM. Lacressonnière, Camis.
MM. Taillade, Dailly, Péricaud, Gravier, Pougaud, Rosny, Romain, Mallet, Samson, Fontanes, Teste, Avelot, Cerizé, Dubos, Vivier, E. Duhamel.
Mmes Lacressonnière, France, Leconte, Gallois, Lamart, Lacroix, Brémens, Deiaval.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 153 et 154)
  • unencart publicitaire (page 155)



Théâtre de la Gaîté

GAÎTÉ

Administration (1892-1893)

Directeur, M. Debruyère, A. .
Secrétaire général, M. Fernand Lefèvre, A. . -- Régisseur général, M. Orgereau.
Caissier, M. Salbat. -- Contrôleur en chef, M. Filliaux, A. . - 1er régisseur, M. Leriche.
Maîtresse de ballet, Mme Mariquita. -- Chef machiniste, M. E. Brabant.
1er chef d'orchestre, M. Goudesone. -- 2ème chef d'orchestre, M. Meyronnet.
Souffleur, M. Malfournal. -- Chef des accessoires, M. Raoul Artus.
Chef costumier, M. Landolff. -- Chef électricien, M. Bour.

Artistes.

MM. Paulin-Ménier, Morlet, Alexandre, Fugère, Dacheux, Landrin, Bienfait, Bartel, Riga, Liesse, Durieu, Parisot, Médéric, Raoul, Bernard.
Mmes Gélabert, Cassive, Rose Delaunay, Tyda-Raphaël, Armi, Moïna Clément, Ducouret, Devallon.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (page 157)
  • un chapitre Prix des places au Palais-Royal et Porte-Saint-Martin (page 158)
  • unencart publicitaire (page 159)

PAGES 160 & 161

PAGES 164 & 165




Théâtre du Châtelet

CHATELET

Administration (1892-1893)

Directeur, M. Floury, A. .
Administrateur, M. Félix Floury, A. . -- Secrétaire général, M. Edm. Floury. -- Contrôleur en chef, M. Armand. -- 1er régisseur, M. Auguste. -- 2èmerégisseur, M. Stéphen.
Chef machiniste, M. Certillon. -- Costumière, Mme Dauspold. -- Chef de la figuration, M. Cartier. -- Chef des accessoires, M. Armand. -- Chef d'orchestre, M. M. A. Artus.

Ballet.

Maître de ballet, M. Rossi.
Mlle Pastore, danseuse étoile. -- Mlles Mireveau et Duval, 1ères danseuses. -- Mlles Anton, Pierra, Ella, Dumont, Bossi, et 100 dames du corps de ballet.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 161 et 162)
  • unencart publicitaire (page 163)



Théâtre de l'Ambigu

AMBIGU

Administration (1892-1893)

Directrice, Mme Zulma Bouffar.
Administrateur général, M. H. de Langlais. -- Secrétaire, M. A. de Jallais.. -- Régisseur général, M. Deltombe. -- Régisseurs, MM. Chevalier et Stébler.-- Caissier, M. H. Lelong. --Chef d'orchestre, M. Herman. Chef machiniste, M. Baillet. -- Chef des accessoires, M. Morizot.
Chef de figuration, M. Guettard. -- Souffleur, M. V. Francis.

Artistes.

MM. Pouctal, Desjardins, Lérand, Monti, E. Raymond, Garay, Francisque, Linières, Bacquié, Darlès, Prad, Marmier, Chevalier, A. Lévy, Yves Martel, Th. Lédard, Castelli, Stébler, Hodin, H. Martin, Dervet, Bouvet, Gaudy, Rinald, Drapier, Paulin, Guettard.
Mmes Tréville, Régine, Martial, Descorval, Lévi-Leclerc, Marie-Laure, Roussel, Jane Dixel, Deschamps, Palmyre.


NdW : suivent :

  • un chapitre Premières et reprises de l'année 1892. (pages 165 et 166)
  • unencart publicitaire (page 167)


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