Note : cette page et ses annexes seront amendées au fur et à mesure que ce site fera référence, notamment dans ses fiches biographiques, aux Cafés-Concerts et Music-halls. Nous ne pouvons que trop vous recommander de la consulter régulièrement.

Dans la liste qui suit, en rouge, les établissements qui ont gardé leur nom et (ou à peu près) leur vocation première.
En gris, les établissements dits "secondaires".

Note : en bas de page, on trouvera des liens vers d'autres photographies d'établissements, de programmes, d'affiches et vers une liste (non exhaustive) des établissements de province.


Un clic agrandit ou élargit la plupart des photos qui suivent.

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B




Bal Bullier
31 Avenue de l'Observatoire, 5e
(Depuis 1967 Avenue Georges Bernanos)

Réouvert, en 1847, par François Bullier sous son nom d'origine (Closerie des Lilas - 1804), à la place du Bal du Prado d'été. Réquisitionné, comme ambulance, pendant la guerre de 1870, fabrique d'uniformes pendant la Première Grande Guerre, il rouvre en 1920. Fermé définitevement, en 1940, il est reconstruit en centre Bullier, services pour étudiants.

Aujourd'hui : Centre étudiant Jean Sarrailh (C.R.O.U.S.)



Bal du Prado
Rue de la Barillerie
(Depuis 1864 Boulevard du Palais)

Ancienne chapelle royale Saint Barthélemy. En 1772, le bâtiment en ruine, le roi décida qu’elle serait entièrement reconstruite. Le portail était terminé quand la Révolution mit un terme aux travaux. Elle fut vendue en vertu de la loi du 18 février 1791, comme propriété nationale.
Ouvert le 21 octobre 1792, sous le nom de Théâtre du Palais des Variétés. En 1802, des chanteurs allemands en firent le Théâtre de Mozart. C’est en 1810 qu’un nommé Venaud y établit un bal auquel il donna le nom de Bal du Prado. Le bal attirait de nombreux étudiants dans l'île de la Cité dans la première moitié du XIXe siècle. Un bal masqué avait lieu chaque mardi pendant l'hiver, dans les temps de Carnaval. Il subsista jusqu'en 1858. Le grand directeur du Prado est M. Bullier. “Gros et gras, joyeux et bon vivant”, il est décrit comme le “père de famille” de ces étudiants. Malgré sa blessure à Waterloo, il n’hésite pas à fendre la foule pour calmer les querelles. Avec son grand chapeau haut de forme, il était salué par tous. C'est dans l'ancienne salle de théâtre de l'île de la Cité, que le bal du Prado était donné. Toutefois, la salle n'avait plus rien de ses origines. En effet, diverses cloisons avaient été dressées, permettant de séparer les espaces de danses. La rotonde et une galerie était alors la villégiature des danseurs. L'aristocratie n'hésitait pas de son côté à utiliser des petits salons installés à proximité. Autour, on retrouvait la buvette, qui distribuait surtout de la bière. Il a été démoli en 1860 pour faire place au tribunal de Commerce.


Bal Mabille
51 Avenue Montaigne, 8e
(autour du 51, Avenue Montaigne, 8e)

Ouvert sous le nom de Jardin Mabille, en 1831, (dans un lieu encore champêtre à l'époque) par un professeur de danse (M. Mabille, père) et réservé à ses seuls élèves. Il s'ouvre au public et en 1844, les fils Mabille en font un jardin "enchanté". Éclairé par des becs de gaz (3 000 en tout !), il peut ouvrir le soir. Le prix d'entrée (élevé) trie la clientèle. Les "lionnes" y ont rendez-vous ! C'est là que Chicard introduit le cancan (voir à French Cancan). Sous le Second Empire, on y voit Rigolboche ou Céleste Mogador. Orchestre de 50 musiciens. Deux obus, en 1870 (pendant le siège de Paris) lui tombent dessus. Fermeture, en 1875 et démolition, en 1882.

Aujourd'hui : Boutiques de luxe
 

 
Bal de la Renaissance
12 Avenue Jean Jaurès, 8e

En 1860, c'est Le Colbo. Suite à sa vente, en 1877, il devient le Bal de la Renaissance. En 1890, le bal est démoli pour faire place au Concert de la Renaissance. Fermé pour un an, en 1911, il revient en cinéma-concert en 1912, pour deux mois puis, en 1913, devient un théâtre lyrique qui périclite. Après totales transformations, en 1918, la Renaissance renoue avec le succès et sa spécialité, le café-concert. Dès 1926, les concerts commencent à s'effacer pour laisser la place, en 1928, au théâtre. En 1934, il devient la Renaissance Cinéma, jusqu'en 1968, où il est démoli.

Aujourd'hui : intersection (carrefour) (Retour au plan de Paris)


Bal Tabarin
36 Rue Victor Massé, 9e

Salle construite, en 1904, selon les plans du compositeur et chef d'orchestre Auguste Bosc qui y présente, tout d'abord, des attractions diverses : acrobates, luttes, bals costumés. Lorsque le Moulin Rouge est incendié, en 1915, c'est là que se retrouvent les fameuses danseuses du French Cancan mais un temps seulement car le tout est transformé en skating (patinage) jusqu'aux environs de 1920, date à laquelle on retourne aux attractions du début avec des concours de chapeaux, etc. - À partir de 1933, on y présente des revues et divers spectacles jusqu'en 1953.

Voir au complet ici
- Voir photos


Aujourd'hui : immeuble résidentiel (Retour au plan de Paris)

gravure bal Valentino

Intérieur de la Salle Valentino



Vue en coupe de la Salle Valentino
251 Rue Saint-Honoré


Bal (ou Salle) Valentino
251 Rue Saint-Honoré, 1er

De 1850 à 1890. Ex-nouvel hippodrome de 2 700 places, édifié sur les anciens jardins du couvent des Capucins Saint-Honoré, devenu Cirque Olympique en 1807. Bazar Chabrand en 1831.Puis inauguré, en 1834, par Musard (voir nos pages sur le French Cancan) associé à Chabrand, comme Champs Elysées d'Hiver disposant d'une orangerie, d'un café et d'un promenoir. Musard quitte Chabrand et ouvre sa propre salle Rue Vivienne. Chabrand rebaptise sa salle, salle Saint Honoré en 1838. Il y sera donné de la "grande musique", trois fois par semaine, sous la baguette du chef d'orchestre des Opéras (de Paris et Comique) et violoniste Henri Valentino [*]. On y joue également de la musique légère et on y donne des bals. La chanson s'y invite parfois. On y entendra plusieurs fois Marie Bosc. Le Bal Valentino deviendra, en 1841, une succursale du Bal Mabille.Quand Valentino se retire, en 1865, la salle reste un bal fameux.La salle abritera, en 1881, le Panorama de Reichshoffen. Fermeture en 1890. édouard Deransart, Antony Lamotte et Jean-Baptiste Arban compositeurs célèbres de musique festive y furent chefs d'orchestre.Devient le Nouveau Cirque et plus tard le Chien Noir - Pour les affiches, voir ici.

Pour les affiches, voir ici.



[*] Note : Henri Justin Joseph Valentino, né à Lille en 1785 et mort à Versailles en 1865.


le 251 rue st-honoré de nos jours


Ba. Ta. Clan
50 Boulevard Voltaire, 11e

Construit en 1864, c'est le Pavillon chinois, théâtre peu recommandable en forme de pagode chinoise. Ferme en 1889 et réouvre en aout 1892 racheté par Paulus qui le revendra à perte en 1897.En 1905, l'endroit est presque exclusivement consacré à des revues.Il est repris en 1910 par Madame Rasimi et devient le Ba-Ta-Clan qui présente des revues à grand spectacle et des attractions diverses, des ballets et des chansons se terminant par une courte revue ou une "mini-opérette". Mistinguett et Maurice Chevalier sont là en 1917, Georges Milton en 1921. En 1926, l'endroit est fermé pour être, en 1932, transformé en cinéma et abandonné ou presque en 1969. - En 1971, on rouvre, sous le nom Le Bataclan en tant que salle de spectacle : folklore, soirées typiques avec orchestre, dancing et concerts rock. Le 13 novembre 2015, ce lieu est endeuillé par un attentat au très lourd bilan : 90 morts et des centaines de blessés.

Aujourd'hui : salle de spectacles (Retour au plan de Paris)



Bateaux Parisiens
(ou Bateaux Omnibus)

156 à 160 Quai d'Auteuil,16e
(Depuis 1937 Quai Louis Blériot)

D'abord (en 1868), face au débarcadère des Bateaux-Omnibus, une sorte de grand hangar servant de salle à boire, cet établissement est transformé en café chantant Concert du Cadran, en 1873. En 1908, les Bateaux-Parisiens sont "reconstruits" Concert des Bateaux sur le boulevard Exelmans pour devenir, en 1906 le Théâtre Lyrique du XVIe dont le répertoire est construit autour de la revue et l'opérette.

Aujourd'hui : immeubles résidentiels (Retour au plan de Paris)


 
Béranger
91 Boulevard Beaumarchais, 3e

De 1850 à 1867
 

 
Béranger 2
2 Rue du Temple, 3e

De 1895 à 1901
 



Bijou-Concert
37 Rue du Faubourg du Temple, 10e

Ouvert en 1876 ou 1877, le premier Bijou-Concert alors nommé Boléro Star présente des pièces populaires avant de fermer une dizaine d'années plus tard, 11, rue du Faubourg Poissonnière. - En 1891 ou 1892, un second Bijou-Concert ouvre ses portes rue du Faubourg-du-Temple, 10e pour, après avoir présenté des spectacles de music-hall pendant presque dix ans, se transformer en théâtre (Bijou-Théâtre) avant de fermer ses portes en 1900 ou 1901. - Rouvert en 1903, toujours sous le nom de Bijou-Concert, il redevient théâtre en 1909 puis à nouveau music-hall (10 directions en 5 ans) puis change de nom, en 1911, pour s'appeler Familia-Concert avant de refermer à nouveau, en 1912, pour rouvrir en tant que salle de cinéma, en 1913, et se transformer, une fois démoli et reconstruit, en Palais des Glaces, en 1924, pour redevenir un music-hall, en 1960, un théâtre, en 1980 et... une salle de spectacle, en 1988, toujours sous le nom de Palais des Glaces à qui la direction a donné le sous-nom de "Temple de l'humour". - Au cours de ses années pré-quatorze, parmi les "vedettes" qui passèrent au Bijou-Concert, nommons Mercadier, Urban (à ses débuts) et... Montéhus.

Aujourd'hui : théâtre du Palais des Glaces

(Retour au plan de Paris)


Bobino
20 Rue de la Gaité, 14e

Au début des années 1800, Bal des Gigolettes puis Bal des Escargots reconstruit en 1833. Sous le Second Empire, on le surnomme Bal Chicard, Bal des Gigoteurs, il devient le Bal des Mille Colonnes, Concert des Mille Colonnes. Et puis, les Folies-Bobino sont inaugurées en 1873 : restaurant, salle et jardin. Éden-Parnasse en 1892. Rénovées en 1901 puis fermées en 1926. Réouvertes l'année suivante après de gros travaux, Bobino (nouveau nom) est racheté par Pathé pour en faire un cinéma. Le projet est abandonné : Bobino reste un Music-hall jusqu'en 1983 où, complètement détruit, on le retransforme en boîte de nuit puis, détruit à nouveau, en salle de spectacle en 1991...

Voir au complet ici
.

Aujourd'hui : salle de spectacles (Retour au plan de Paris)


La Bodinière
18 Rue Saint Lazare, 9e

En 1888, le secrétaire général de la Comédie-Française, Charles Bodinier fonde cette salle qui devient Le Théâtre d'Application.1890 voit la création des Matinées-Causeries de la Chanson. Yvette Guilbert s'y produit souvent dès 1891. La salle est surnommée, dès 1894, La Bodinière (clin d’œil à son créateur). Des expositions de peintures sont organisées dans le couloir. De nombreuses conférences et des réunions mondaines sont données dans le théâtre. En 1896, Hector Guimard, l'architecte du Grand Neptune construit le Salon de thé Melrose et attenant, le théâtre de La Bodinière aux n° 16 et 18 Rue Saint-Lazare. Début du 20ème siècle, la fréquentation baisse.La salle devient le Théâtre des Arts, en 1901 et Théâtre d'Art international, l'année suivante. Puis Nouvelle-Comédie en 1903 et Théâtre des Funambules, suivi de Théâtre Mévisto, en 1904, fermé définitivement en 1909 et démoli en 1910.

Hector Guimard (1867 - 1942) : Paris 9e, 16 et 18 rue Saint-Lazare,
Salon de thé Melrose et théâtre de la Bodinière.

Aujourd'hui : commerce & appartements


A gauche de la porte cochère, le restaurant...

... et à droite, le bar


Le Bœuf sur le Toit
28 Rue Boissy d'Anglas, 8e

Voulant s"agrandir, Louis Moysés transféra, en décembre 1921, son bar Le Gaya du 17 rue Duphot, 1er, au 28 rue Boissy-d'Anglas, 8e, il le renomma Le Bœuf sur le toit, du nom d'un ballet de Jean Cocteau et Darius Milhaud.

Au 28 il y a une porte cochère et des locaux commerciaux de part et d'autre de cette porte.A gauche était le restaurant et à droite était le bar. Déménage en 1928, rue de Penthièvre, 8e, puis en 1936 au 43 bis Avenue Pierre 1er de Serbie, 8e et enfin en 1941, 34, Rue du Colisée, 8e (voir ci-dessous). Fréquenté par un groupe d'artistes qui se retrouvait chaque semaine autour de Cocteau, le propriétaire. On y voyait Dior, Chanel, Picabia, Picasso, Satie et plus tard, Trenet ou Ferré.Ces soirées donnaient lieu à des concerts improvisés et des performances artistiques, si bien que l'expression "faire un bœuf" est née là.

Aujourd'hui : Commerces
 


(années '60)


Le Bœuf sur le Toit
34 Rue du Colisée, 8e

Ex Mon Paris puis ex Carillon, le Bœuf sur le toit arrive là en 1941.
Fréquenté par un groupe d'artistes qui se retrouvait chaque semaine autour de Cocteau, le propriétaire. On y voyait Dior, Chanel, Picabia, Picasso, Satie et plus tard, Trenet ou Ferré.Ces soirées donnaient lieu à des concerts improvisés et des performances artistiques, si bien que l'expression "faire un bœuf" est née là.

Aujourd'hui : Restaurant - Music Hall


La Boîte à Fursy
12 Rue Victor Massé, 9e

Dans l'ancien Chat Noir repris par Fursy en 1899, déménage en 1902 aux Tréteaux de Tabarin 58, Rue Pigalle 9e.
(voir ici et au complet, ici)

 
Boléro-Star
11 Rue du Faubourg Poissonnière, 10e

Dans la maison "Trouard, marbrier du roi, construite en 1740 et revendue en 1781 à l'intendant des Menus-Plaisirs. Spectacle - concert. Presque face à l'Alcazar d'Hiver. En 1877, Auguste de Villebichot en est le chef d'orchestre. Depuis 1879, les différents directeurs avaient eu, en général, plus affaire avec le Tribunal de Commerce qu'avec les spectateurs, si bien que le marionnettiste britannique Thomas Holden (1847 - 1931) y installe son théâtre de marionnettes pour un an, en janvier 1879 et qu'il baptisera sans trop d'effort, le ThéâtreThomas Holden.

Voir aussi ci-dessus à Bijou-Concert.

 
Bosquet
20 Avenue Bosquet, 7e

De 1895 à 1918. Un chalet, ou plutôt une baraque en planche, "débris" de l'Exposition universelle de 1878.

 


Bouffes du Nord
37bis Boulevard de la Chapelle, 10e

  Théâtre des Bouffes-du-Nord construit des fondations existantes supposees etre celles d'une caserne et inauguré en 1876. La salle comporte 530 places réparties en un parterre, un rang de loges et une galerie. Devient Théâtre Molière en 1904 et ferme au début de la Grande Guerre pour rouvrir en 1917 sous son nom d'origine, mais en tant que music-hall. Théâtre des Carrefours en 1945 puis fermeture administrative en 1952 (normes de sécurité). Abandonné et menacé de destruction, est racheté en 1969 pour rouvrir en 1974.
Voir son site (avec historique) : Bouffes du Nord

Aujourd'hui : salle de spectacles (Retour au plan de Paris)


Bouffes Parisiens
4 Rue Monsigny, 2e

  Ancien Théâtre Comte où Jacques Offenbach s'y installe en décembre 1855. En 1862, la salle est démolie puis reconstruite plus grande. Y étaient données, entre autres, les œuvres d'Albert Willemetz et Henri Christiné.

D'autres informations sur l'Annuaire des artistes (1893).

Aujourd'hui : salle de spectacles (Retour au plan de Paris)


Boul-Var-Dia
42 Boulevard Bonne Nouvelle, 10e

Ouvert en 1907, le Théâtre du Cinéma Palace devient Ciné Concert Palace après la Première Grande Guerre. C'est en juin 1924 qu'il sera le Boul-Var-Dia, salle de spectacles de variétés. En 1933, il alterne cinéma et concerts. Début des années '50, Il est le cinéma Amiral puis, en 1975, Brooklin et depuis 2008 Le Comedy Club.

Aujourd'hui : salle de spectacles (Retour au plan de Paris)



Café-Concert Bouquet
2 Avenue de la Cascade, 19e
(Face au 66 Rue de la Vera Cruz [depuis 1880 Rue Botzaris])



2, Avenue de la Cascade, Buttes Chaumont, 19e

D'abord Pavillon du Chemin de Fer, ouvert en 1867, avec le parc (voulu par Napoléon III), devient le Café-Concert Charles Weber.

Plus d'informations sur CPArama. com , l'excellent article :
Le Parc des Buttes-Chaumont dans ses coins et recoins



Aujourd'hui : restaurant

 
Brasserie des Martyrs
9 Rue des Martyrs, 9e


Créée en 1860, la Brasserie des Martyrs fait vainement quelques tentatives de café-concert. En 1896, elle s'appele Bengali durant trois mois pour se muer en Concert de la Savoyarde. En 1897, deux ultimes tentatives, en Brasserie Concert des Martyrs se soldent par la fin du concert dans cet établissement.


Aujourd'hui :
commerce & appartements (Retour au plan de Paris)

Brunin
77 Rue du Faubourg du Temple, 10e

Brasserie rachetée en janvier 1900 par l'artiste Brunin (des Ambassadeurs) pour en faire un café-concert. Fermé en 1907, il devient, en 1910, un cinéma, le Temple Cinéma puis Pathé Temple et enfin Temple Sélection.

Aujourd'hui : restaurant & club (Retour au plan de Paris)


Brunin 2
133 Boulevard Diderot, 12e

Palais du Trône
, un cinéma que Brunin père rachète, en 1913, pour le transformer en concert et lui donner son nom. En 1919, Blon-Dhin en est le directeur artistique et 1934, le Brunin 2 devient un cinéma les Variétés Brunin, puis Brunin. En 1974, le cinéma les Trois Nations, puis Cinéma Nation.

Aujourd'hui : cinéma (Retour au plan de Paris)


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