Emplacement de la Folie Richelieu lors de sa création
Hall du Tivoli abritant Le Pôle Nord qui sera partagé en Nouveau Théâtre (futur Théâtre de Paris) d'une part et en Casino de Paris d'autre part.
Article à propos du Casino de Paris,
paru dans Chansons Illustrées n° 119
Le chef d'orchestre, Raphaël Beretta en 1903
1890, la salle du Casino de Paris, vue de la scène.
110 ans plus tard, la même salle du Casino de Paris,
vue de la scène.
La verrière vitrail vue de la mezzanine
du Casino de Paris
où se trouve aujourd'hui le restaurant "Mistinguett".
L'administration du Casino de Paris.
Le Théâtre Réjane en 1912
Mistinguett et Max Dearly, au Casino de Paris, en 1908, executant La Danse du Pavé,un dérivé de la valse chaloupée qu'ils ont créée au Moulin Rouge.
Combat de boxe au Nouveau Théâtre, en mars 1905,
l'Anglais Tilbury rencontre le Belge Dupont.
Casino de Paris - Nouveau Théâtre - Théâtre de Paris
n Richelieu libertin !.. en la personne de Armand de Vignerot du Plessis, duc et maréchal de Richelieu, neveu du cardinal qui se fait construire une Folie pour y organiser les divertissements dont il se régale, au bas de la butte Montmartre entre les rue Blanche, de Clichy et de la Trinité (voir ci-contre à gauche) : la Folie-Richelieu. Il s'y tient des réunions assez osées, tels ces repas dont les participants sont nus, servis dans un pavillon isolé au milieu d'un parc arboré. Louis XV vient y souper avec Madame de Pompadour.
Claude Rigoley, baron d'Ogny et ex intendant général des Postes acquiert la Folie-Richelieu en 1779. Fortunée Hamelin, une Domingoise, amie intime de Joséphine de Beauharnais, lui succède sous le Directoire. En parfaite "Merveilleuse", provocante et coquette, elle qui lança la mode des robes de gaze transparente attira là, le gratin du premier Empire, par des bals très audacieux portant haut la renommée du célèbre l'établissement. En 1805, arrive Armand de Caulaincourt aux affaires, général, grand écuyer, ambassadeur en Russie sous l'Empire et duc de Vicenza (Italie). Oubliées, les journées de Thermidor, le Parisiens sont pris d'une fièvre de plaisirs, bals spectacles partout ! En 1811 la Folie-Richelieu est transformée en un grand parc d'attractions, le Deuxième Tivoli qu'anime le maître artificier Ruggieri. Quarante ans plus tard, démolition de la Folie-Richelieu. Sur son emplacement, on construit la première église de la Trinité, que le baron Hausman fera démolir et reconstruire plus bas 16 ans après. Nous sommes en 1867. La surface dégagée sera occupée par un très grand hall de divertissements qui va de la rue de Clichy à la rue Blanche, dont le Pôle Nord, un skating (une patinoire) très à la mode et très prisé ! 1880, importants travaux de transformation : une partie du skating devient Palace-Théâtre, un très grand hall en longueur avec plafond à verrières dans lequel on entrait par la rue Blanche. Au fond de la salle, en hauteur, l'orchestre s'installe dans un balcon-loge. Une sorte de podium occupe le centre du hall et le public s'assoit de part et d'autre du podium. Un promenoir fait le tour de la salle.
La sallle du Palace-Théâtre, telle que décrite dans les documents d'époque.
En 1890, arrivent Louis et Paul Lointier, nouveaux propriétaires, qui confient aux architectes Gridaine et Sauffroy le soin d'aménager deux salles bien distinctes : le Casino de Paris, côté rue de Clichy, et le Nouveau-Théâtre ( qui deviendra en 1906 le ThéâtreRéjane, en 1918, sous Volterra, le Théâtre de Paris), côté rue Blanche. La direction d'orchestre du Casino de Paris va à Louis Deransart, et celle de l'orchestre du Nouveau-Théâtre va à Paul Lointier. Les devis sont largement trop courts et les coûts explosent au-delà du raisonnable ! Moins d'un an après leur prise de possession des deux établissements, Louis et Paul Lointier sont contraints de déposer le bilan ! Le directeur de l'élysée-Montmartre, Armand Després, et Louis Borney, limonadier, reprennent la direction de l'affaire, Alfred Edwards, étant propriétaire. Restauration par l'architecte néerlandais Edouard Niermans et inauguration du nouveau Casino de Paris le 11 octobre 1891. Fantastique succès à faire du Casino de Paris le lieu en vogue ! Les deux nouveaux directeurs ont un vrai sens artistique. Malgré la petite taille de la scène, sans dégagements, ne permettant aucune fantaisie de mise en scène, Després et Borney présentent des ballets et des pantomimes. Mais l'essentiel des programmes va aux attractions. Des revues de P.-L Flers, H. de Gorsse et Georges Nanteuil y sont données après 1900. Plébins, Armand Baldy, Eugène Ranci, Guyon fils, Armand Berthez, Suzanne Derval, Adeline Lanthenay en assurent l"interprétation.
C'est là ! sur cette scène qu'en 1893, une "gamine" se faisant appelée Miss Tinguette fera ses débuts en passant à 20 heures, au commencement du spectacle avec l'orchestre, chantant "La Môme du Casino" à grands renforts de moulinets ! Succès très moyen !
J'suis la môme du Casino. Oh ! Oh !
Fraîche comme un coquelicot oh ! oh !
Mais galbeuse et rieuse et toujours rigolo
La môme du Casino !…
Mistinguett racontera plus tard dans ses mémoires (Toute ma vie - Juillard - 1954) : " En chantant "La Môme du Casino", je faisais de tels gestes avec les mains que j'avais l'air de dérouler de la satinette !"
Et d'ajouter : "A huit heures vingt, j'étais dans la rue. A neuf heures, je prenais le train pour Enghien. Je touchai deux francs par jour, mais ça ne méritait pas plus. Au-delà du troisième rang d'orchestre, il était inutile d'essayer de percevoir un seul des sons que j'émettais, ni de tenter de saisir un des mots que je prononçais"
Dans ce Casino de Paris, on entre par la rue de Clichy et on contourne la scène à droite ou à gauche pour accéder à la salle. Peu de places assises, juste quelques rangées de fauteuils et une dizaine de loges. La curiosité venait de l'immense promenoir : les spectateurs s'y mêlaient aux dames de petite vertu, l'un des charmes de l'établissement. Le spectacle de scène se terminait vers 22 heures, pour faire place aux attractions diverses, les spectacles du promenoir. Au-dessus de l'entrée, il y avait une grande baleine creuse. Dans laquelle , le public assistait à des numéros de danses orientales, qui faisaient s'agiter la bête, en cadence, tout comme le célèbre éléphant du Moulin Rouge. Rue Blanche se trouvait une seconde entrée, qui donnait sur un jardin à oriental, agréable et frais, avec des niches en retrait, où l'on servait à boire. Cette parfaite exploitation aurait pu durer longtemps ! Mais, en 1905, le propriétaire diminue la salle d'un bon 25% de sa surface pour que Mlle Réjane, la comédienne, puisse agrandir le Nouveau-Théâtre qu'elle venait d'acheter. Després et Borney jettent l'éponge et lache le Casino de Paris. Leur succède, Jules Chancel, auteur dramatique, qui entreprend des travaux d'aménagement de la nouvelle salle. Ce qui fera dire à Jacques-Charles dans ses mémoires : "A l'opposé de la petite scène derrière laquelle on entrait auparavant rue de Clichy, on avait installé un magnifique plateau – tel qu'il existe encore – , mais on avait négligé la salle : le balcon était trop loin, l'orchestre n'avait pas de pente, les fauteuils étaient inconfortables." Chancel inaugura avec une opérette dont les représentations durent rapidement être interrompues. Vinrent ensuite des spectacles de lutte, enfin, des championnats de boxe, les premiers présentés en France, qu'organisa Jacques-Charles, alors secrétaire général de l'établissement, qui attirèrent beaucoup de monde et retardèrent de quelques semaines la chute de Chancel. Le Casino de Paris avait cessé de plaire. Pendant dix ans, il ne cessa de péricliter, enregistrant les faillite successives de : G. Zittel, Reith et Cie, L. Vilar, Albert Cailar, Rougé et Guy Dumas.
La salle du Casino de Paris en 1898.
1904, en septembre, Marcel Nancey, qui vient d'être évincé des Bouffes-Parisiens, reprend le bail du Nouveau-Théâtre et y installe son Opéra-Bouffe. Mais lié par un accord permettant à d'autres troupes de s'y produire, il jette rapidement l'éponge, laissant la place à la troupe de l'Œuvre, en alternance avec une série de concerts donnés par l'orchestre Lamoureux. En 1905, la comédienne Réjane rachète le théâtre qu'elle rénove et auquel elle donne son nom, le Théâtre Réjane, qu'elle revend en 1914, à Mme Rasimi, la directrice de Ba Ta Clan.Volterra rachète la salle en 1918 et lui donne à l'inauguration d'août 1919, le nom de Théâtre de Paris, Réjane ayant contractuellement refusé que le théâtre garde son nom. Volterra restera jusqu"en 1948 et sera remplacé par Marcel Karsenty et Pierre Dux, futur administrateur général de la Comédie Française. La comédienne Elvire Popesco, prend la direction de l'établissement de 1955 à 1965 et crée la seconde salle du Théâtre de Paris. 300 places sous les toits, à la place des ateliers de costumes qui devient le Théâtre Moderne puis, plus tard, le Petit théâtre de Paris. Alain et Anne de Leseleuc lui succèdent jusqu'en 1975, suivis de Robert Hossein pour deux ans. Depuis 2013, le Théâtre de Paris appartient à vente-privée.com.
1914 favorise la réussite de l'ancien chef d'orchestre Raphaël Beretta, devenu directeur de l'Olympia et des Folies-Bergère qui rachète le Casino de Paris pour en faire un cinéma-music-hall.
Dans sa société d'exploitation Beretta, avait Léon Volterra. Les deux Latins, mauvais caractères, incapables de s'entendre, s'opposaient sans arrêt ! Exit Volterra, qui missionne son oncle Joseph pour racheter la boutique en sous-main. Beretta était fait ! Volterra fait entièrement reconstruire la salle, trouve un collaborateur artistique, et découvre la super-vedette capable d'assurer la relance du music-hall ! Avant la Grande Guerre, Volterra vendait les programmes à l'Olympia où Jacques-Charles était, à l'époque le directeur. Léon Volterra va trouver ce dernier pour qu'il écrive la revue d'ouverture. Jacques-Charles accepte et ne voit que Gaby Deslys comme vedette. Celle-ci triomphait à Londres, au Globe Theatre, avec un jeune danseur américain : Harry Pilcer (voir ici). Volterra les engagea. Ce fut le le premier couple à entrer dans la légende du music-hall français grâce au "tremendous" [*]Gaby Glide !
Le 11 décembre 1917, au soir, la foule accourt au Casino de Paris noir, rouge, or et laque de Chine ! En haut d'un escalier de lumière (invention de Jacques-Charles) apparaît Gaby Deslys dans une robe parsemée de pierreries et décorée de plumes. C'est la revue Laisse-les tomber. Et le plus intéressant, c'est le Rag Time Band, premier jazz-band présenté en France, dirigé par le batteur Murray Pilcer, le frère du danseur ! Succès colossal ! La salle craque !
Dès mars 1918, la multiplicité des bombardement conduit à l'arrêt des programmes et Volterra emmène sa troupe à Marseille où il vient d'acheter un théâtre. Là, il se fâche avec Gaby Deslys.
Les événements passés et de retour à Paris, la revue, privée de ses vedettes, mais dont le succès n'était pas épuisé, fut reprise, dans une nouvelle version, avec deux remplaçants de poids : Mistinguett, déjà célèbre, et Maurice Chevalier, sur le point de le devenir. Pendant les représentations de Paris qui Jazz !, en 1920, les deux amants se séparent ! La Miss, ne supportant pas l'idée de partager la vedette, refusa que le nom de Maurice Chevalier figure sur l'affiche en caractères aussi gros que le sien. Maurice Chevalier renonça à son rôle, et s'embarqua pour Londres.
Le 26 mars 1921, en l'absence de Miss, passée à la Porte Saint-Martin pour y jouer Madame Sans-Gêne, Chevalier consent à à faire sa rentrée chez Volterra, dans Avec le sourire, revue de Jacques-Charles. 1922 sera l'année de la poisse : la Revue des Étoiles est émaillée d'incidents plus ou moins graves, jusqu'au 9 mai, où la scène passe au feu. La reconstruction assortie des derniers perfectionnements coutera une fortune à Volterra, qui fit construire dans les dessous une piscine en verre de cent mille litres ! Surprise générale et totale, le 20 décembre quand en fin de deuxième acte de la revue de réouverture En Douce, la cuve monta en majesté sur toute la largeur de la scène et toute la troupe emmenée, par Mistinguett et Dorville, plongea au milieu de resplendissantes sirènes. En Douce a été l'un des plus gros succès du Casino de Paris qui se jouera jusqu'à la veille du départ de Mistinguett pour sa tournée sud-américaine, le 23 mai 1923. La revue En Douce change de nom pour Y'a qu'à Paris avec Sessue Hayakawa (célèbre acteur japonais), Maurice Lehmann (futur directeur du Châtelet) et Yvonne George, la diseuse. Les douze années que Volterra passera à la direction se solderont par vingt-quatre revues qui eurent toutes du succès. Spécialement celles, créées par Jacques-Charles. Ce dernier quittera le Casino de Paris, pour la direction artistique du Moulin Rouge, en 1924 après les représetations de la Revue Olympique.
En 1925, revue Paris en fleurs, on y revoit Maurice Chevalier, les Dolly Sisters et Yvonne Vallée (future
Mme Chevalier)
En 1926, revue Paris ! toujours Maurice Chevalier.
En 1927, revue les Ailes de Paris, encore Momo !
En 1929, revue Paris qui charme, Harry Pilcer (voir ici), Bach et Marie Dubas.
Un jour, Henri Varna propose à Volterra de monter une opérette importée de Broadway (New York) Good News !
Réponse d'un Volterra fatigué : "Je te vends le Casino neuf millions"
Varna et Dufrenne venaient de renoncer au Mayol. ils dirigeaient encore le Palace et l'Empire, mais le Casino de Paris, roi des music-halls, quelle aubaine inespérée! Le 10 septembre 1929, ils entrent dans leurs nouveaux murs.
Et cerise sur le gâteau, Foucret transforme le Moulin Rouge en cinéma ! Un concurrent de moins ! Varna et Dufrenne se hâtent de reprendre la Miss... Le 14 novembre 1929, le Casino de Paris ouvre sur Paris-Miss, une revue signée Varna. on y voit la "reine" du Casino de Paris, emplumée, descendre à son tour l'escalier de lumière, le séducteur étant comme de juste, Henri Garat et le danseur Earl Leslie. En 1930, c'est Paris qui remue pour 13 mois, consacrant au passage, Joséphine Baker "Impératrice du Music-Hall" qui y interprète "J'ai deux amours" un "tube" connu du monde entier ! A sa suite, 150 ouvriers doivent travailler jour et nuit pour réparer la salle ! Ce qui fera dire à la dame Bourgeois, un rien perfide : "Probablement qu'elle avait trop remué, la Joséphine."
En 1931, revoilà Mistinguett, dans Paris qui brille avec les Double Two, un quatuor formé par Dawson, Destrey, Pills et Tabet. Ces deux-là reviendront l'année d'après,
dans la revue Sex-Appeal 32, conduite par Marie Dubas. Suivie de la revue d'hiver de Varna, au cours de laquelle l'âme diabolique et voluptueuse du
Casino de Paris, Joséphine Baker descendra par trois cent quarante-six fois le fameux escalier de lumière.
1933, le 25 septembre, Dufrenne est assassiné. Le 26 octobre, la célèbre Célimène, sociétaire de la Comédie Française, Cécile Sorel emmène Vive Paris ! , une revue à laquelle Sacha Guitry a collaboré.
Vint le moment de descendre le fameux escalier de Varna. Arrivée au centre de la scène, elle lança ce célèbrissime "L'ai-je bien descendu ?" passé à la postérité ! Tonnerre d'applaudissements dans la salle. Seconde version en mai 1934 que Varna rebaptisa Paris-New York avec les Hoffman Girls et Line Viala.
L'orchestre de Ray Ventura sera remplacé par celui de
Jo Bouillon (voir ici). Ensuite, la revue Parade de France se fera à l'économie, tant la crise de février avait déterioré les finances du
Casino de Paris. Pas de grand vedette, sinon Georgius/Georgius.htm">Georgius et un jeune Corse inconnu de 28 ans, Tino Rossi bénéficiant d'un accueil délirant avec "Vieni Vieni" et "ô Corse, Ile d'amour", purs produits de Géo Koger et Vincent Scotto.
1935, rentrée de Momo à Paris, c'est Parade du Monde.
En 1936, retour de
Tino Rossi, passé au rang d'idole. 1937, Paris en joie, Maurice Chevalier y va de "Ma Pomme".
Juste avant la Seconde Grande Guerre, Varna crée Amours de Paris, toujours avecMaurice Chevalier
et une jeune chanteuse, danseuse de claquettes que le public va découvrir : Irène de Trébert.
Puis vint la guerre, l'occupation allemande. Septembre 1940, Amours de Paris, montage de scènes issues des revues précédentes interprété par des inconnus. Les Allemands veulent des vedettes et menacent de faire venir les leurs de Berlin. Varna descend dans le Midi persuader Chevalier de revenir à Paris, qui accepte. Toujours Paris ne sera pas une revue mais une suite de numéros suivis de Maurice Chevalier en deuxième partie. En 1941, après Chevalier, il faudra Mistinguett revenue d'Antibes pour 5 mois devant une salle comble. Ce fut sa dernière scène de music-hall. En 1942, Pour toi Paris solde la période d'occupation allemande. Ce ne sera pas davantage une revue, mais une succession d'attractions et une vedette en seconde partie. Après Chevalier, viendront Suzy Solidor, Edith Piaf, Jeanne Aubert... La guerre terminée, le Casino de Paris donnera deux revues à l'américaine, rendant ainsi hommage aux Alliés libérateurs. Paris Extra-dry en mai 1946.en 1948, Exciting Paris, la revue des cent millions ! Quarante-sept tableaux décorés par José de Zamora.
En 1982, c'est Tino Rossi qui revient sur la scène de ses débuts pour y faire... ses adieux. La tradition des grandes revues est définitivement rompue. Depuis, le Casino de Paris est une salle de spectacle.
La Revue des étoiles de Jacques-Charles, G. Arnould, Albert Willemetz, avec Louis Boucot, Charles Dutard, Henry Defreyn, Louisard, Pearl White, Nina Myral, Lucette Darbelle et Germaine Mitty.
Paris-New York de Albert Willemetz, Saint-Granier, avec Hal Sherman, Fred Pasquali, Alfred Pizella, Jean Irace, les Dolly Sisters, Renée Devilder, Charlotte Martens et Yvonne Bacon.
Paris-Miss de Henri Varna, Léo Lelièvre, E. Leslie, avec Raymond Dandy, Aimé Simon-Girard, Henri Garat, Earl Leslie, Mistinguett, Betty Spell, Viviane Gosset et Margaret Jade.
Paris qui remue de Henri Varna, Léo Lelièvre, avec Raymond Dandy, Adrien Lamy, André Berki, Pierre Mayer, Joséphine Baker, Marguerite Perny, Colette Andris et Margaret Jade.
Tout Paris chante de Henri Varna, Léo Lelièvre, Marc-Cab, Ch. Tutelier, avec Tino Rossi, André Lacroix, Jacques Lerner, Robert Berri, Marthe Ferrare, Alice Méva, Marcelle Lucas et Jany Briand.
Paris en joie de Henri Varna, Léo Lelièvre, Marc-Cab, Ch. Tutelier, avec Maurice Chevalier, Harry Max, Émile Dellys, Robert Berri, Nita Raya, Assia de Busny, Ellen Leigh, Lyn Logan et Paulette Couty.
Pour toi, Paris de Henri Varna, Marc-Cab, P. Durand, avec Maurice Chevalier, Rudy Hirigoyen, Roger Méra, Henri Regard, Josette Daydé, Jacqueline Fontange, Ludmilla Dorin et Pauliane Lhote.
Paris extra-dry de Henri Varna, Léo Lelièvre, Marc-Cab, R. Vincy, avec Christian Arnaut, Claude Bonheur, Harry Max, Guy Loyal, Marie-Louise Didion, Yvonne Darriès, Christiane Muller et Anouk Ferjac.
Exciting Paris de Henri Varna, Marc-Cab, avec Pedro de Cordoba, Lucien Jeunesse, Jean Rigody, Guy Loyal, Charles Vernier, Claudine Cereda, Marceline Meyer, Iléana Simon et Gloria Vélasquez.
Gay-Paris de Henri Varna, Marc-Cab, R. Richard, avec Lionel Georges, Jean Rigody, Guy Loyal, Jacques Rolland, Mary Meade, Liliane Montévecchi, Hélène Lavoisier et les sœurs Romance.
Une revue du tonnerre (seconde version de la précédente), avec Jean Rigody, Guy Loyal, Max Amyl, Roger Stéfani, June Richmond, Arielle Zumbo, Hélène Lavoisier et Michèle Donat.
Sensations de Paris de Henri Varna, Marc-Cab, R. Ri-chard, avec Alfrédo Alaria, Robert Piquet, Jean Rigody, Jean-Louis Bert, Linda Gloria, Monica Ford, Yoko Tani et Simone Claris.
Plaisirs de Henri Varna, Luis Gasté, avec Fernando Rego, Jean Rigody, Edmond Meunier, Alfredo Condé, Line Renaud, Colette Bousquet, Véra Allen et Lidia Manuguerra.
Désirs de Paris de Henri Varna, avec Jean Rigody, Jean Soulis, James Kent, The Yatch News, Line Renaud, Liliane Paris, Jenny Lerolland et Éva et Adamo.
la Revue Roland Petit, avec Robert Richemont, Jorge Lago, Jean-Pierre Brossman, Jean-E. Raynaud, Zizi Jeanmaire, Annie Moren, Édith Verlet et Bianca Védia.
Zizi. je t'aime ! de Roland Petit, avec Don Moïse, Jorge Lago, Robert Richemont, Bernard Lhuillier, Zizi Jeanmaire, Lisette Malidor, Ingrid Oppmann et Nadine Bertho.
Paris-Line de J. Bauchet, Line Renaud, Luis Gasté, avec Line Renaud, Wendy Wallace, Gay Penter, Deidre Mirabel, Géraldine Armstrong, Jeff Sullivan, Patrick Craig et Nicky Gorska.